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LES VIDÉOS

 

#1 (vidéo gagnante) : "5 mois en Asie du Sud-Est"

Par Matthis BERNET (ISEN Méditerranée)

"La Malaisie m’a ouvert ses bras et j’ai apprécié chaque instant passé dans ce merveilleux pays et ceux aux alentours.
La fin de ce voyage signe probablement les 5 plus beaux mois de ma vie étudiante et j’espère l’avoir bien reporté dans cette vidéo.

L’enrichissement personnel fut illimité au même titre que l’enrichissement humain.
J’y ai découvert des cultures qui m’étaient inconnues et qui désormais me passionneront pour toujours."

 

 

#2 : "Mon semestre à Edimbourg"

Par Annaëlle TOURET (ISEN Méditerranée)

"Bonjour, Voici ma présentation sur mon semestre à Edimbourg.
Ce semestre au sein de l’université de Napier a été une expérience très enrichissante, qui m’a permis d’en apprendre beaucoup sur moi-même.
Je suis tombé amoureuse de l’Ecosse, plus particulièrement d’Edimbourg.
Cette ville est juste incroyable. C’est une capitale avec plein de choses à faire, mais en même temps c’est tout petit.
J’espère que vous avez aimé la vidéo, et que ça vous donne envie de partir !"

 

 

#3 : "Singapour, une ouverture sur l'Asie"

Par Charles BOUSSEMART (ISEN Junia Lille)

"Un stage de 4 mois à Singapour, un premier voyage en Asie.
J’ai pu découvrir une nouvelle culture, rencontrer des personnes venant de toute l’Asie.
Je vous emmène avec moi pendant quelques minutes pour vous partager mon expérience."

 

 

#4 : "4 mois de rêves en Corée du Sud"

Par Eléa PAUL (ISEN Ouest)

"Mon échange en Corée du Sud, était une expérience enrichissante et inoubliable.
Ce sont des mois où j’ai appris à m’adapter à une culture totalement différente, à découvrir de nouvelles langues, de nouvelles personnes et à prendre confiance en moi.
Je suis réellement tombé sous le charme du pays et ses habitants.
La bienveillance, le dynamisme, la sécurité et la démesure sont quatre aspects que je retiendrai tout particulièrement.
J’ai vécu dans un monde parallèle le temps de 4 mois et je n’ai qu’une hâte c’est de retourner manger des bibimbaps et de chanter au karaoké."

 

 

#5 : "Péripéties au Québec"

Par Alix CARDINE (ISEN Ouest)

"Quand on part à l’autre bout du monde, le téléphone portable est un outil indispensable.
A travers notre écran se reflète les paysages et l’organisation complète du voyage.
Ce séjour a été pour moi l’occasion de faire de nouvelles rencontres et de nouvelles découvertes, d’apprendre à apprécier un autre climat et un autre mode de vie.
Mon séjour à l’UQAR m’a apporté bien plus que les leçons qui m’y ont été donné et seule une infime partie de tout cela est représenté à travers ce projet vidéo."

 

 

#6 : "My first story overseas, Bulgaria!"

Par Maxime JAMELOT (ISEN Junia Lille)

"A trip is a step in a life, it is the journey of our enrichement.
Each experience makes us grow and bring us a different and broader vision.
Humanity is beatiful so discover it and see how man is a most incredible species.
It’s not a trip in a lifetime but a new life when you take a trip.
So get strated, even alone, don’t regret anything in your life."

 

 

#7 : "Voyage en Corée"

Par Yann LE DEUN (ISEN Ouest)

"Cette courte vidéo, réalisée par moi et mon frère, retrace notre expérience de 5 mois en Corée.
Ces images ont été tournée entre Séoul, Busan et Daegu et montre notre quotidien, entre visites, restaurants et soirées."

 

 

 


  

 LES BLOGS

 

#1 (blog gagnant) : "Un stage au Cambodge"

Par Alexis CHARGY (ISEN Ouest)

"-Le goût de l'apprentissage et du travail mêlé au plaisir du voyage-
Un stage au Cambodge est un espace où je partage ma passion du voyage et de l'histoire
en donnant quelques informations et conseils aux futurs stagiaires internationaux."

 

 

#2 : "L'Aventure"

Par Maïlis PAUGAM (ISEN Ouest)

"Ce blog est le résumé d'un semestre à l'étranger.
Accompagné d'une amie, nous avons décidé de poser nos bagages le plus loin possible à la découverte d'une nouvelle vie.
Nous avons donc opté pour la Corée du Sud avec ses coutumes et sa culture bien loin de la France.
J'ai appris pendant cet échange à prendre confiance en moi, à sortir de ma zone de confort en rencontrant des gens, en mangeant de la nourriture très particulière...
Je suis tombée tout simplement sous le charme de ce magnifique pays où je pense retourner très prochainement."

 

 

 


  

LES ARTICLES

 

#1 (article gagnant) : "My stay in Nepal or how to keep the extraordinary simple..."

Par Lionel SMETS (ISEN Junia Lille)

"Je m’appelle Lionel SMETS et je suis actuellement en M1 à Junia ISEN.
J’ai réalisé mon IB (échange interculturel demandé par l’école) au sein d’une famille au Népal.
Cette expérience m’a beaucoup affecté au travers même de ma façon de penser.
L’état d’esprit de la plupart des Népalais avec lesquels j’ai échangé est d’accepter les choses telles qu’elles viennent à nous et de rester simple.
Et cela ajouté à un environnement totalement différent, fut une grande remise en cause de ma façon de percevoir les choses.
J’ai pu développer mon réseau pour espérer de futures expériences dans des entreprises Népalaises."

   

"Namaste (greeting), my name is Lionel SMETS and I’m writing this article because I want to share the cultural exchange, I had this summer (2022) in Nepal.

Let’s set the background of the trip, the Nepal is a country I already went once for one month back before covid for a solidarity project. In the last 3 years I have been trying to go back there, but I finally could this summer thanks to the program conduct by JUNIA ISEN, the International Break (IB).

My activity in Nepal, during the two months I sited, was to help a family for the housework. This chore was taking me around 25 hours a week and I mainly helped with cooking, washing up, laundry and cleaning. These chores were very recurrent as thirteen persons were living in the house at the time I was sitting there, the two grandparents, the two parents, their two daughters (29 and 27 years old) and two sons (31 and 13 years old), the wife of their oldest son and their own son (3years old) and, in addition to this, two uncles from India were staying most of the time there.

Despite the amount of work needed, I was always happy to help, and I never felt overwhelmed. Everyone here was so warmhearted and there was always someone with me to make sure that I’m not too exhausted or feeling lonely.

I’m very happy to have been able to live in a Nepalese household, this situation gave me the opportunity to learn a lot about the culture and lifestyle of Nepalese people.

I talked a lot with all the family members and their way of thinking about themselves, other people and the future is really mind blowing compared to our (French) way of thinking. All these talks made me question myself a lot during these 2 months. I feel changed in a positive way after this experience and I would do it again if I could.

Speaking about opportunity, while being in Nepal, I started to take contact with different IT (information technology) professionals. I loved Nepal so much that I’m now trying to find my ISEN M1 internship in Nepal. As everyone is very welcoming (anyone you meet will invite you to have a cup of tea with them) it’s in fact easy to build a strong professional network. I’m hoping for the best for next summer and I’m looking forward to living a professional experience there.

Lastly, as you might have understood, I love Nepal, for the people and their culture, for the landscape with its temples and its colorful houses, and last but not least, for the food.

I hope that you want to visit Nepal too after reading about my experience, if so, I would be very happy to share more of it with you!"

 

 

#2 : "Se déplacer au Québec pour les rookies"

Par Hugo LEVALLOIS (ISEN Ouest)

"Bonjour, moi c’est Hugo, je suis parti à L’université de Rimouski (UQAR) au Québec pour le semestre d’hiver 2022.
Dans ce court article j’ai essayé de partager une partie de mes aventures avec les transport Québécois,
en ajoutant quelques anecdotes par-ci, des recommandations par-là couplées d’une tranche d’humour.
Si mon article permet d’éviter ne serait-ce qu’une mauvaise surprise, ou une mésaventure à un Isenien, mon objectif sera atteint."

   

"Tu viens d’arriver au Québec ? tu te demandes comment parcourir ces étendues sauvages et ces villes tentaculaires ? Pas de soucis voici quelques indications mon chum.

Tout d’abord, si comme moi tu prépares ton voyage, et ton futur road trip dans le grand Nord à l’aide d’une carte, méfie-toi ! Un week-end à Toronto en partant de Rimouski pour aller voir jouer les Raptor ? ça peut être sympathique,sauf que tu as oublié une chose le Canada c’est grand, très grand, trop grand ?
Pour te déplacer tu as plusieurs options :

• L’autocar qui dessert les principales villes, idéal à l’arrivé et au départ pour transporter tes valises, mais je t’assure une fois que tu auras vu les prix, tu chercheras un autre mode de locomotion.

• Ah le train, la conquête de l’ouest, le cheval vapeur, justement le probleme est là, il est onéreux, lent, le réseau obsolète, et passe seulement par les grandes villes, il faut savoir une chose,au Canada ce sont les trains de marchandises qui sont prioritaires pour circuler, des montres d’acier de 3 km de long avec des wagons à pertes de vue.

• Le métro et « sa ville souterraine » de Montréal sont simple d’utilisation (seulement 3 lignes) et parfait pour arpenter la ville des 1001 ratons laveurs.

• Les raquettes, elles sont indispensables pour s’aventurer dans la nature en hiver si tu veux éviter de te retrouver sous 2 mètres de neiges, parcontre n’espère pas observer des Orignaux avec,ils t’entendront à des kilomètres. Pense à demander à ton université, ils en louent sûrement pour quelques dollars canadiens.

• La Patiflute (nom non contractuel), un mélange de trottinette et de luge seul ou à partager avec un ami, un véritable engin de mort, chute garantie, fracture optionnelle.

• La motoneige, je me suis renseigné auprès des autorités compétentes,malgré ce que vous disent les locaux, il faut bien un permis voiture pour conduire ces véhicules saisonniers.

• Malheureusement si on veut se déplacer dans la toundra, ou enchainer les parcs nationaux, avoir un char est indispensable, et non je ne parle pas d’un char d’assaut mais bien d’une automobile. En effet au Québec tout comme le reste de l’Amérique du Nord ici la voiture est reine. Si vous êtes plusieurs et restez 1 année entière l’achat d’une voiture d’occasion peut être un bon investissement, pour ceux qui iront à McGill sachez qu’il y a possibilité de louer des voitures à un prix défiant toute concurrences.

• J’ai testé pour vous la voiture électrique pour un trajet Rimouski-Québec en pleine hiver, sous – 30 C°, pour augmenter l’autonomie, les conducteurs ont tendances à couper le chauffage… Prévoir une couverture !

• Le covoiturage, sans doute la solution la plus économique de toutes, avec son application incontournable « Amigo Express » et son kangourou bleu, c’est l’occasion de rencontrer de vrai Québécois pour vous apprendre à Sacrer correctement, certifié par un covoitureur 5 étoiles !

A tantôt pour autres tips mon Caribou.

Hugo"

 

 

#3 : "Quelques conseils pour un(e) étudiant(e) effrayé(e) à l'idée de partir à l'étranger"

Par Thibaud POUPON (ISEN Ouest)

"Cet été j'ai réalisé mon stage technique de fin de Master 1 à Casablanca au Maroc.
Certains passages ont été particulièrement compliqués et ont en partie entaché mon séjour,
c'est pourquoi dans cet article vous trouverez quelques-uns des conseils qui m'auraient sans doute permis de passer un meilleur séjour !"

   

"Après trois mois difficiles passés en stage à Casablanca au Maroc, j'ai été amené à réfléchir aux conseils que j'aurais aimé avoir avant mon départ afin de passer un meilleur séjour, je vais donc dans cet article essayer de vous en donner quelques-uns.

Si comme moi vous partez à l'étranger à reculons simplement pour valider le quitus international, quelques éléments pourraient vous permettre de mieux préparer votre séjour et ainsi d'en conserver une expérience aussi positive que possible.
Dans un premier temps, il va vous falloir vous résigner, en vous disant que vous allez devoir y aller à un moment ou à un autre donc pourquoi maintenant ? Dans cette situation la procrastination sera votre plus grande ennemie et si vous arrivez à vous convaincre assez tôt vous avez toutes les chances de mieux appréhender ce qui va se passer lorsque vous partirez et ainsi de pouvoir profiter bien plus que vous ne l'auriez pensé.
Un autre conseil qui me vient à l'esprit avant le départ est de bien garder en tête que les stages à l'étranger ne sont pas toujours rémunérés et qu'il vous faudra donc vivre avec les économies dont vous disposez. Si vous ne partez que dans quelques mois dites-vous que de nombreuses entreprises embauchent des étudiants le soir, le week-end ou pendant les vacances et que vous pourriez ainsi vous constituer quelques économies supplémentaires pour profiter de votre séjour. Enfin, si l'idée de partir seul à l'étranger vous effraie, vous n'êtes sans doute pas le/la seul(e), n'hésitez pas à organiser un voyage en binôme pour avoir une épaule sur laquelle vous reposer en cas de difficulté, cela vous permettra sûrement de créer des souvenirs encore plus marquants au cours de votre voyage.

Une fois sur place, le meilleur conseil que je puisse vous donner va être d'essayer de profiter au maximum pour découvrir la culture du pays dans lequel vous vous trouvez, que ce soit au travers de la cuisine, des activités locales ou simplement des vestiges d'une culture passée ou des édifices d'une culture ancrée dans les coutumes des personnes que vous allez être amenés à rencontrer. Le simple fait de vous balader aux alentours de votre lieu de résidence peut vous aider à découvrir des choses inattendues et qui resteront gravées dans votre mémoire, mais si jamais vous trouvez tout de même le temps long et que l'envie de rentrer se fait de plus en plus forte, essayez de vous fixer des objectifs, qu'ils soient sportifs, culinaires ou culturels, le fait d'avoir un but à atteindre vous permettra de ne pas compter les jours et de pouvoir être fiers de ce que vous aurez accompli.

Bien sûr il ne s'agit pas là des seuls conseils dont vous aurez besoin, et peut-être même que vous n'en aurez pas besoin finalement, chacun d'entre nous peut vivre une même expérience de manière différente, mais si ce départ à l'international vous effraie, la meilleure chose à faire reste encore d'en parler !"